Poeme de moua

De you touch me ?
Do you rape me ?
I stood in front of you
With my last breath
Because you suppressed my life
I want be a lie
I'm lost on my rock
My heart is lock
I'm diing
I'm screaming
For my deliverance
And you , have you got a soul ?
Do you feel the fear ?
Croo the river of my tears
And drow in my fear
I can listen your whisper
I beat-me myself
Because you don't save-you yourself
You can't hear-me
But me I hear you
I can't see you
But you, you can see me !

JE NE SERT A RIEN

J'ai crier,
J'ai saigner,
J'ai pleurer,
Mais personne pour m'aimer
Condamné a errer
Comme un parasite
Toujours en fuite
Je ne sert a rien
C'est  hélas mon destin,
Bouche trou pour toujours
A jamais sourd
Et aussi aveugle
Je suis si seul...

HELLO

Dans la cour de récréation la sonnerie retentit encore une fois
Des nuages menaçants viennent à nouveau jouer à ça
Personne ne t'a-t-il dit qu'elle ne respirait pas?

Hello, je suis ton esprit
T'offrant quelqu'un avec qui parler
Hello, je suis ton esprit
Je suis venu t'aider
Hello

Si je souris, ne crois pas
Je sais que je vais me réveiller bientôt de ce rêve la
N'essaye pas de me réparer, je ne suis pas cassée pour çà

Hello, tu peux te cacher , je suis le mensonge qui vit pour toi,
Ne pleure pas

Soudain je sais que je ne dors pas
Hello, je suis toujours là
Je suis tout ce qui reste de hier, de moi

Chante treize fois
Ecoute le treize fois
Tue le treize fois
Ecoute le silence
Te murmurer la chance
Que tu n'as pas eu
Ecoute le te chanter
Les mot d'amour
Que tu n'as jamais aimer
Que t'en deviens sourd
Ecoute le te tuer
Il te detruit
Attention il va te tuer
Ferme les yeux sur autrui
Et ouvre les sur ton avenir
Penses-tu un jour l'ecrire ?
A l'encre de sang
Ou avec ton propre chant

BATARD

Je ne suis qu'un batard
Croisé entre malheur et pleur
Celui qui broie du noir
Celui qui gobe tout vos leurre
Ce soir je partirais
Vers les rivière claire
De la paix
Vers un monde sans guerre
Ce soir je partirais
Vers les cieux
Le haut vide de silence
Je souffre interieurement
Depuis mon enfance
Je ne verse pas de sang
Alors personne ne me voit
Puisque ici la seul loi
C'est tuer
Ou se faire buter...

SAUTE DU TRAIN

Tu rêves encore,
Il faut que tu t'en sortes
Que tu te reveille enfin
Pour sauter du train
Que t'embrasses la mort
Ainsi tu vaudras plus que de l'or
Que ton sang puissent enfin s'ecouler
Vers les rivières rouge de ton passé
Que tu ne soit plus attaché
Et que tu soit enfin liberer

La lame est si tranchante
Et le sang si rouge
La mort si lente
Tu vois la vie en rouge
Saute du train
Appelle la fin
Tu as si froid
Il faut que tu soit toi

Tu veut en finir
Mais tu ne sait comment mourrir
Alors tu te noies dans tes larmes
Ton sang sera ton unique arme
Fais-le, détruit-toi
Ou la mort te rattraperas
Dans ton dernier souffle
Tu entend le silence qui souffre
Ton coeur est en train de mourrir
Mais toi tu ne veut plus partir
C'est déjà tro tard
Ton train n'etait qu'un batard
Croisé entre la mort et les pleures
Tu ne peut remonté, tu as loupé l'heure

SA PRISONNIERE

Pleure les dernière larmes de ton corps,
Vide-toi de ton sang, tu as tort,
Regarde toi mourir,
Je vais te finir,
Tue-toi,
Ou je le ferais pour toi,
Elle a le droit a la liberté
Mais pourtant elle est prisonniere
Ton maquillage ne fait que couler
Tu vas te faire tuer par derriere.

Regarde toi,
Tu ne pourras pas
Ta vie va s'arreter la
Tu va te detruire ici bas
Ta derniere goutte de sang
Sur moi se repend
Tu tombes lourdement
Tu meurt surement
Je te regarde mourrir
Avec mon sourrire

Elle etait sa prisonniere
Enfermé dans sa propre tête
Dans son esprit elle ère
Elle ne faisait jamais la fête
Son sang etait si noir
Elle pouvait se voir
Se voir mourrir
Se voir detruire

Mais aujourd'hui elle n'est plus là
Elle est partit loin de là
Son encore est encore gisant
Il est encore tout effrayant
Elle etait sa prisonniere
Mais pourtant elle en etait si fière
Vas-y suicide toi
Tu as fait le bon choix.

Ce soir, mon âme stupide et ivre, s'envolera vers d'autre horizon noir. La reine stupide devant cette marre de liquide flasque rouge me fait vivre un enfer. Les mots ne sont que la preuve de la stupidité de la race humaine, des perdants. Ce soir, mon corps s'envolera vers d'autre horizon noir, Mon corps aprtira vers un monde bien meilleur, la ou les cris et tourments sont rires et joies. Là ou le sang n'est que eau. Là ou les pleure n'existe pas. là ou les peurs donne l'espoir, l'espoir de vivre. Mais ce soir mon corps refuse d'y aller. Ce soir mon corps reste là stupide, ivre, taché de rouge. Ma vie est détruite, ecrite a l'encre rouge. Ecrite a l'encre de sang, mon sang. Ma vie, mon histoire, mon âme, mon horizon, mes cirs, mes tourments, mes pleures, mes rires, mes joies, mon espoir... Mon suicide, ma fin...

Raping-me, destroy-me... Sur moi tu as tout les droits... Parce que les 18 ans j'l'ai ai pas... Aujourd'hui c'etait mon 5eme printemps... Mais pour moi,  c'etait un jour comme les autres... Toujours aussi maltraité, toujours aussi enfermé, dans mon esprit... Ce que tu me fais je ne sait pas si c'est bien ou pas... Mais lorsque j'ai eu 8 ans, mon cousin m'a expliquer.... comment on faisait les bébé, Alors j'ai compris... ce que tu me faisait.... J'avit mal mais je le disait pas... Alors quand a l'ecole on a parler de comment faire les bébé... J'ai tout raconter... Ensuite tu ma frapper, parce que tout etait devoiler... Alors après j'ai dormis, dans mon cercueil tout pouris. Ma vie tu la gaché. Vien craché, sur ma tombe, vien baiser sur ma tombe... J'ai rejoint mon frère, celui que t'avait deja tuer, parce que il avait vu ce que tu me faisait... Aujourd'hui mon âme c'est envolé... Vers les lointaine liberté... Mes cris de ma voix je te les laiise pour toi, les cris de mon âme, juste pour mon blame... Mon enfance, secret défense...

Ils me regardent tous bizarrement, comme si j'etait different. Je baisse le regard, et seul je marche.Voila j'ai decidé, tout allait s'arreter. Ces regards incessant, me detruisant. Regardez-moi, Cherchez-moi ! Je suis celui dont vous parler en rigolant. Celui qui broie toujours du noir. Celui qui est tout seul, se vidant de son propre sang. De mes propré pensé. Maman, je viens te rejoindre... Un dernier passage dans la rueoù on m'avait tabasser. C'est là que mon suicide allait commencer. Je repère le batiment dans lequel je vivais. C'est si haut, si loin, la mort. Je regarde une derniere fois deriere moi. Puis m'avance vers le vide. Murmurant, mamam je m'elance dans le vide. Je les voit ceux qui me regardait maintenant ils sont tous en bas me regardant, me montrant du doigt. Regardez-moi, cherchez-moi... Pour la dernière fois...Le vent siffle sur mon visage... Je tombe, je meurt. C'est alors que le crache, l'inevitable se fit sur mon corps. Enfin, Maman... Je suis là... Mon âme s'élève. Et j'adresse les cris de mes peurs à tout ceux qui m'ont montré du doigt. Venez cracher sur ma tombe. Si j'en aurait une de tombe... Je m'eleve... Et je voit les gens autours de moi... Ces gens si cons... A croire que le luxe est l'unique veritée dans ce monde... Regardez-moi, Cherchez-moi, Vous ne me trouvez pas ??? J'oubliais vous ne pouvez pas me voir... JE verse ma dernière larmes... Vous m'avez montré du doigt, Vous m'avez tué... J'etait pauvre sans famille, errant... Vous si riche, si entouré, si bien aimer... Je vous hait... Je vous hait tous... Venez, venez crachez...sur ma tombe... Sachez que je reviendrais, je reviendrais vous hanté... Hanté, hanté... Des mots se perdent dans mon esprit. Maman, suicide, hanté, sang... Les medecins arrive enfin. C'est trop tard je suis déhà liberer. Plus rien a faire. Jamais mes yeux se reouvriront... Mon chemin je l'ai choisi... Dans ce monde si on affronte la vérité on fini par mourrir... Mourrir parce qu'on a fini par trouver la vérité... Dans ce monde c'est tuer ou se faire tuer... Meurtrier ou se faire buter... Papillon de liberté, je t'ai enfin capturé... Tu est dans mon filet...